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Suite à la conclusion d’un accord de libre-échange majeur entre les nations du Pacifique, les syndicats rappellent au monde que le travail décent est non seulement important, mais qu’il est également le pilier de sociétés justes et égales.

De Bruxelles en Belgique à Buenos Aires en Argentine, la Confédération syndicale internationale (CSI) a organisé des événements partout dans le monde sous le slogan « Halte à la cupidité des entreprises ».

L’Internationale de l’Education (IE), qui représente plus de 32 millions d’enseignant(e)s et de travailleurs/euses de l’éducation au travers de ses 400 organisations affiliées, se tient au côté des tou(te)s les travailleurs/euses pour soutenir des conditions de travail décentes.

L’accord commercial « partenariat transpacifique» annoncé le 5 octobre souligne l’importance de la lutte pour le travail décent pour les travailleurs/euses à une époque où la portée des entreprises s’élargit et leurs poches s’épaississent.

Au travers de la réponse mondiale à la privatisation et la commercialisation de l’éducation, l’IE souhaite assurer « que soient garantis les droits des enseignantes et enseignants et du personnel de soutien éducatif à des conditions de travail décentes, une formation de bonne qualité, un recrutement et un emploi juste, ainsi qu’un développement professionnel de qualité. »

L’Internationale de l’Education a également réaffirmé sa position sur le travail décent à l’occasion du son 7e Congrès mondial en juillet dernier, en adoptant une résolution sur « Le travail précaire et les campagnes en faveur du travail décent » afin de réaliser notamment « un travail avec les fédérations syndicales mondiales et la CSI pour faire reconnaître l’emploi précaire comme un obstacle majeur à la campagne pour le travail décent. »